« Je suis le Seigneur ton Dieu qui t’a libéré d’Égypte. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit. (Dt 5-6) ... Et tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Lv 19)
J’examine ma conscience.
J’ai confiance en Dieu qui est toute miséricorde.
Je demande l’aide de la Sainte Vierge, notre Mère, du Saint ont je porte le nom et de tous les Saints, de mon Ange gardien et de tous les Anges.
Il a pour références les commandements de Dieu et de l’Église et s’inspire de la tradition spirituelle et morale la plus constante.
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.
Bénissez-moi, mon Père, parce que j’ai péché.
Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant vous, mon Père, que j’ai péché, en pensée, en paroles, par action et par omission.
Mon Père, je ne me suis pas confessé depuis... J’ai fait (ou « je n’ai pas fait ») ma pénitence.
Mon Père, voici mes péchés :
De tous ces péchés — de tous ceux que j’ai oubliés — de tous ceux de ma vie passée, je demande pardon à Dieu — et, à vous, mon Père, pénitence et absolution, si vous m’en jugez digne.
Oui, j’ai vraiment péché. C’est pourquoi je supplie la bienheureuse Vierge Marie, les anges et tous les saints et vous aussi, mon Père, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Vous écoutez ensuite ce que vous dit le confesseur ; quand il a fini de vous parler, vous dites l’acte de contrition :
Mon Dieu, j’ai un très grand regret de vous avoir offensé, parce que vous êtes infiniment bon, et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce, de ne plus vous offenser de faire pénitence.
Vous écoutez la formule d’absolution, — avec joie, humilité et reconnaissance.
Merci, mon Père / monsieur l’abbé !
Vous allez faire la pénitence que le confesseur vous a imposée.